Une semaine de rêve à Rio de Janeiro

Nous avons passé 5 jours à Rio de Janeiro – le temps idéal pour profiter des attractions locales tout en ayant le temps de se mettre au rythme des habitants – et sommes totalement tombés sous le charme de cette ville. Nous vous proposons une petite musique afin de vous mettre dans l’ambiance en lisant cet article.


Mardi : les retrouvailles !

Nous arrivons le mardi 31 octobre, le jour d’Halloween. Certaines vitrines de boutiques sont décorées avec des citrouilles, on croise des personnes déguisées dans la rue, c’est étrange de vivre cette période de l’année alors qu’il fait 30 degrés dehors ! En arrivant à Rio on prend notre temps, on récupère de notre voyage en avion (on s’est levés à 2h30 du matin) et on visite le quartier d’Ipanema.

À la découverte d’Ipanema
Hortense et David, qui nous accueillent si gentiment pendant notre séjour, habitent en plein cœur d’Ipanema. Il s’agit d’un des quartiers les plus agréables et les plus sécurisés de Rio, avec Copacabana et Leblon. L’immeuble possède un gardien, comme souvent d’ailleurs ici et, particularité de Rio, une porte de service qui sert quand on rentre de la plage afin de ne pas mettre du sable partout. A Paris ça ne risque pas d’exister…
Les rues d’Ipanema accueillent de nombreuses boutiques, un joyeux mélange entre des magasins chics, des épiceries, des restaurants de rue… Le quartier est encadré par la lagoa d’un côté et la plage de l’autre. On aperçoit d’ailleurs la mer à certains endroits dans la rue. On passe pas mal de temps à flâner et à apprécier l’ambiance cool et détendue qui s’en dégage.
On se prend aussi de passion pour Zona Sur, le supermarché situé en bas de l’appartement. Enfin un supermarché digne de ce nom ! Ça nous avait manqué et on est comme des fous dans les rayons en voyant le choix de confiture, de fromage, de fruits et légumes… Il ne faut pas grand chose pour nous rendre heureux. Fabien trouve même des madeleines St Michel, c’est Noël. On vous rassure, on préfère quand même la plage. Et puis c’est plus cher qu’au Bon Marché ici alors on ne s’attarde pas.

On pousse notre promenade jusqu’à Leblon et on revient par la plage. C’est la tempête aujourd’hui alors on repassera pour se baigner. Le vent est tellement fort que même les oiseaux ont du mal à avancer.

Tempête à Ipanema
Buildings et reflets

Le soir on retrouve Hortense (mon ancienne collègue) et on fait la connaissance de David autour d’une bière. Stéphane (le cousin de Fabien) arrive dans la foulée après un long voyage depuis Marseille.
Hortense nous a préparé un petit dîner maison : pâtes à la bolognaise/aux légumes avec du parmesan. On se régale ! David ouvre une bonne bouteille de vin rouge pour l’occasion, c’est un goût qu’on avait presque oublié, nos papilles dansent ! Au moment du dessert on découvre un nouveau fruit, la graviola. La chair est douce et sucrée, le goût ressemble un peu à de la crème pâtissière selon Stéphane, il faut éviter les gros pépins noirs qui sont toxiques et durs comme de la pierre mais c’est un délice !

La graviola

Cela fait du bien de retrouver ses amis et sa famille après 2 mois passés loin de chez soi. C’est aussi un peu étrange de ne plus être juste tous les 2, on prend un autre rythme et on peut partager nos expériences de voyage avec d’autres personnes.

Mercredi : Lagao, jardin botanique, Lapa et Santa Teresa
Mercredi matin, après une bonne nuit de sommeil et un petit déjeuner, nous partons nous promener autour de la Lagoa. Elle se trouve à 10 minutes à peine de l’appartement et c’est sur notre chemin pour aller au jardin botanique. Le ciel est un peu couvert donc nous préférons réserver la plage pour un autre moment. On rencontre des petits singes qui font des acrobaties dans les arbres autour de la lagoa, c’est la première fois qu’on en voit en plein milieu d’une ville !
Autour de la Lagoa on tombe aussi sur les anciennes installations des jeux olympiques. Elles n’ont plus l’air de servir aujourd’hui à part pour quelques amateurs d’aviron.

Autour de la Lagoa #1
Autour de la Lagoa #2

Nous arrivons au jardin botanique après 45 minutes de marche (c’est grand Rio). On croise des espaces remplis de cactus, des petites cascades, des serres intérieures avec des centaines de variétés d’orchidées, mais aussi une allée de palmiers géants, des forêts de bambou et même un jardin japonais… un vrai oasis au milieu de la ville.

Le royaume des cactus
Le paradis des orchidées
Allée fleurie
Jardin japonais
On passe d’un univers à un autre

Quartier de Lapa et Escadaria Selarón
Les escaliers Selarón se trouvent au cœur du quartier de Lapa. Nous arrivons sur place en pleine semaine et hors saison donc il n’y a pas trop de monde. Cela dit on doit quand même faire la queue pour prendre une photo en bas des marches, certains se prennent pour des mannequins et restent à poser pendant des heures. Parfois on se demande s’ils prennent des photos d’eux ou du paysage, no comment.
Ces escaliers ont été réalisés par Jorge Selarón, un poète chilien installé à Rio depuis plusieurs années. Il a commencé à recouvrir les marches de céramiques lors de son temps libre et cela s’est transformé en véritable passion, surtout après la victoire du Brésil lors de la Coupe du monde de football en 1994. Des journalistes ont commencé à s’intéresser à son travail et des voyageurs lui ont rapporté des mosaïques de leur pays afin qu’il les ajoute. Aujourd’hui on en trouve qui viennent des 4 coins du monde. Avec Fabien on cherche bien sûr Paris, tandis que Stéphane se concentre sur Aix-en-Provence et Monaco. L’artiste est mort sur ses marches, c’est une histoire assez triste, on ne sait pas s’il s’agit d’un suicide ou d’un meurtre car son corps a été retrouvé brûlé. Cet escalier se veut être une éloge au Brésil et à sa culture. Il célèbre la joie, la fête et les couleurs de la nature présentes dans le pays.

Escadaria Selarón
Nous aussi on a immortalisé l’instant
On a trouvé Paris !
Et aussi du chocolat suisse 🙂

Santa Teresa
En haut des escaliers, on arrive dans le joli quartier de Santa Teresa. Les rues sont plus étroites, les maisons arborent une architecture d’inspiration coloniale et on devine les jardins fleuris derrière les palissades. Le long du chemin, on croise de nombreux tags mettant en garde contre d’éventuelles attaques : « assaltos ». En effet, ce quartier est réputé pour n’être pas très sûr… mais nous tentons quand même le coup et tout se passe bien.

Santa Teresa #1
Santa Teresa #2
Mise en garde…

Au sommet du quartier, le Parque de las Ruinas offre un panorama sur une partie de la ville. Plusieurs familles de petits singes habitent ici, nous croisons une maman avec ses 3 bébés attachés à elle, un pur moment de mignonerie. Sur place, les gardes du parc nous donnent des grains de raisin pour les approcher plus facilement. L’un d’eux vient le chercher directement dans ma main et je sens ses petits doigts, c’est très attendrissant. Je ne sais pas si c’est très bon pour eux de les nourrir mais sur le moment c’est trop tentant…

Parque de las Ruinas
La vue arrivés là-haut
Coucou petit singe
Cuteness

Pour redescendre au centre ville, nous prenons le bondinho, un ancien tramway jaune qui passe au dessus des Arcos de Lapa. C’est une expérience assez chouette de dominer la vue de cette façon.

Bondinho dans les rues de Santa Teresa
Coucher de soleil sur Lapa

On rentre assez fatigués de cette journée bien chargée et on rejoint Hortense, David et leurs amis au restaurant. C’est notre dernière soirée ensemble car Hortense et David partent passer le week-end aux chutes d’Iguazu. C’est difficile de se dire au revoir aussi rapidement même si nous sommes supers contents de ces quelques moments partagés ensemble.

<3
Dernier dîner tous ensemble

Jeudi : un peu de culture

Nous nous sommes inscrits à une visite gratuite (enfin, qui fonctionne sur la base des pourboires) de la ville afin d’en découvrir plus sur Rio que ses plages et sa douceur de vivre. Nous avons opté pour une visite du centre ville et de Lapa. Le centre est un quartier qui peut paraître inintéressant sans avoir les bonnes informations et un peu de contexte historique. Nous préparons un autre article à ce sujet car nous avons appris plein de choses intéressantes.

Après la visite on déjeune dans un restaurant en bas des marches Selarón. Les rues sont noires de monde, tout le monde boit de la bière en terrasse, il y a de la musique… C’est le week-end de la Toussaint ici aussi, donc un grand weekend pour les habitants de Rio. Fabien et Stéphane testent la feijoada, un plat de viande de porc accompagné de riz et de haricots noirs. C’est une spécialité ici. Sur les tables il y aussi une sorte de sauce pimentée que Fabien s’empresse de goûter. Il le regrette au bout de 2 secondes et, pris d’un hoquet soudain, manque de s’étouffer… Le piment ici ça ne rigole pas !

Pause déjeuner en famille

En fin de journée, nous partons à la conquête du Corcovado. On décide d’y aller à pieds (pas une si bonne idée que ça) et on arrive un peu tard. D’ici on prend un petit train à crémaillère pour rejoindre le sommet. On aurait bien tenté de monter à pieds mais ca prend 2h30 et Hortense nous a dit que c’était fermé depuis peu pour des raisons de sécurité. Des touristes ayant tenté l’expérience récemment se sont faits dépouillés et sont rentrés en caleçon… La veille on a croisé un vieux monsieur en slip et tongs sur son vélo à Ipanema, on se demande si lui aussi n’y a pas fait un tour 😉

Les enfants dans le petit train 😀

Arrivés là haut, le ciel est couvert mais le Cristo Redentor (plus connu sous le nom de Corcova Crucificada chez les Pigeon) nous fait grande impression. Il mesure 37 mètres de haut et surplombe toute la ville avec ses bras ouverts, comme si il était là pour la protéger. Il a récemment été classé parmi les 7 nouvelles merveilles du monde aux côtés de la grande muraille de Chine et de la cité de Petra en Jordanie. La vue sur Rio est également superbe, on voit la ville entourée par la mer et par les montagnes, on distingue la Lagoa et sa forme de cœur ainsi que de nombreux espaces verts.

Le majestueux Cristo Redentor
On se sent petits à côté
Vue de profil
Vue sur la Lagoa
Vue sur la baie de Rio


Au retour, Fabien et Stéphane croient reconnaître Flavia parmi les passagers du train. Flavia, c’est un travesti qu’ils ont vu sur une photo dans les cabines téléphoniques de la ville. Des dizaines de photos toutes plus trash les unes que les autres y sont collées (elles resteront dans les iPhones de Fabien et Stéphane pour ne pas que notre blog soit fermé pour cause d’atteinte à la pudeur). Une grande enquête commence… On analyse ses mains, ses pieds, son visage… Nous avons toujours quelques doutes à ce jour.

Les cabines téléphoniques olé olé de Rio

Nous rentrons à l’appart en métro, c’est super moderne et aussi super climatisé, il fait 17 degrés… Les gens nous regardent bizarrement à l’intérieur, en fait on s’est trompés de rame et avons pris celle qui est réservée aux femmes. Quelque part c’est dommage d’en arriver là mais au moins c’est un moyen de réduire les expériences désagréables que nombre d’entre nous connaissons à Paris.

Women power !

Vendredi : farniente et plage

Les mardis et vendredis matin, c’est le jour du marché à Ipanema. Nous ne voulions pas rater cette occasion et avons passé plusieurs heures à nous promener entre les étales à admirer les quantités de variétés de fruits (certains stands ne vendent que des bananes mais ils en ont une dizaine de sortes différentes) et à saliver devant les plats cuisinés ou les desserts.
À peine arrivés, les vendeurs nous font goûter à tout, si bien qu’au bout de dix minutes nous n’avons déjà plus faim. On craque pour des graviolas, des fraises (les meilleures jamais mangées de toute notre vie), une mangue, des citrons verts (pour les caipirinhas) et des brigaderos, des pâtisseries typiques brésiliennes servies pendant les fêtes (mariages ou baptêmes) faites à base de chocolat, de beurre et de lait concentré. Léger. Mais c’est typique donc il faut goûter 😀 Tous les desserts ici sont faits à base de lait concentré d’ailleurs, même la tarte au citron meringuée. Quand on ne reste qu’un mois sur place on apprécie mais c’est quand même vite écœurant.

Marché d’Ipanema
Certains se sont spécialisés dans la banane
Coco verde, on en trouve à chaque coin de rue ici
Le brigadero, c’est petit mais ça suffit !

L’après-midi direction la plage d’Ipanema ! Enfin il fait beau et le soleil brille ! Le cadre est sublime : des kilomètres de sable blanc, la ville et les montages encadrant la promenade, la vie sur les îles recouvertes de palmiers au large… A cela il faut ajouter toutes les couleurs des parasols et des bikinis qui contrastent avec le sable, les joueurs de beach volley, les vendeurs ambulants… C’est vraiment une ambiance à part.
La plage d’Ipanema, comme beaucoup d’autres au Brésil, compte de nombreuses baraques : ce sont de petits stands tenus par des locaux et qui louent des parasols, et sièges pliables. Ils vendent aussi des boissons, du wifi… La majorité des brésiliens s’installent ici et discutent entre eux. Ce qui est bien c’est que ce n’est pas obligatoire, les plages ne sont pas privées comme à certains endroits de la côte d’Azur, et si on veut juste poser sa serviette sur le sable c’est tout à fait possible.

Nous passons une après-midi parfaite sur cette plage à nous baigner (pas longtemps car l’eau est froide et qu’il y a beaucoup de vagues), bronzer (ce n’est pas trop tôt), admirer la plastique des brésiliens et brésiliennes (Stéphane est tombé amoureux plusieurs fois et pense déjà à sa reconversion professionnelle) et jouer au foot et aux raquettes de plage.

Séance bronzage

À 19h le soleil se couche au bout de la plage et nous en prenons plein les yeux. La lumière se reflète dans l’eau et sur le sable mouillé, les nuances de jaune, d’orange, de rouge et de rose se fondent dans le ciel, il fait doux et le sable est encore chaud.

Coucher de soleil à Ipanema #1
Coucher de soleil à Ipanema #2

Pour clore cette journée, on se rend dans un bar à samba du quartier de Lapa. C’est le quartier dans lequel les habitants de Rio sortent en majorité pour faire la fête et en plus nous sommes vendredi soir !
Nous choisissons un bar sur les conseils de David et Hortense. De l’extérieur cela ne paye pas de mine, mais à l’intérieur l’ambiance est électrisante. Un groupe de musiciens d’un certain âge est en plein concert. Ils sont entourés de leurs fans et de quelques danseurs aguerris. Au fur et à mesure de la soirée le bar se remplit et la petite piste de danse devient le meilleur endroit où il faut être, ici se mélangent danseurs experts mais aussi novices : des jeunes femmes venues entre copines, des couples, des familles et même des grands-mères ! On se fond sans problème au milieu de cette foule même si nous sommes les seuls étrangers. Les gens nous sourient, on partage un moment unique avec eux sans avoir besoin de parler.

Le rythme dans la peau

Samedi : dernière journée, achat de souvenirs et promenade sur la plage
Le temps passe vite et c’est déjà notre dernier jour à Rio. Il fait une chaleur écrasante et le soleil brûle mais on veut à tout prix profiter de la plage une dernière fois. Nous longeons toute la promenade d’Ipanema et faisons quelques achats. Les garçons craquent pour des draps de plage et moi un bandeau pour les cheveux. C’est notre tout premier achat de souvenirs depuis le début de notre voyage !

Promenade le long de la plage d’Ipanema

En arrivant au bout de la plage d’Ipanema, à la limite avec Copacabana, la Podra do Arpoador (un ensemble de rochers) offre une vue panoramique sur la ville et la plage. C’est un endroit idéal pour admirer la beauté de cet endroit. Nous nous posons quelques minutes sur les rochers à imaginer notre future vie ici (haha).

Depuis la Pedra do Arpoador

Fabien teste la coco verde et il semble aimer.

La plage de Copacabana ne se trouve qu’à quelques minutes à pieds alors on décide d’y faire un tour. La vue est différente, on aperçoit le pain de sucre au bout de celle-ci. L’ambiance aussi a changé, c’est plus cacophonique, moins calme. Même si le cadre est très beau nous avons préféré de loin celle d’Ipanema.

Plage de Copacabana

Le soir on se prend une dernière caïpirinha en terrasse (on ne sait jamais, c’est peut-être la dernière…) et on prépare nos sacs. Nous partons pour Ilha Grande le lendemain matin !

Pour conclure nous avons eu un vrai coup de cœur pour cette ville dans laquelle on se voit facilement vivre (aucun plan concret n’a encore été émis on vous rassure). Urbanisation et nature cohabitent de façon harmonieuse, la plage se trouve à quelques minutes à pieds seulement, les habitants sont souriants et le stress ne semble pas exister. Bien sûr nous avons bénéficié des meilleures conditions possibles pendant notre séjour : nous avons reçu plein de conseils d’Hortense et David, avons logé dans les bons quartiers et avons eu assez de temps pour profiter pleinement de la ville.
D’un point de vue sécurité, nous ne nous sommes jamais sentis menacés ou en danger contrairement à Salvador De Bahia. Hortense nous avait dit de nous méfier des gens pieds nus (on l’a fait partout sauf sur la plage car ce n’était pas facile…).
Nous sommes néanmoins conscients que la violence est bien présente, surtout en ce moment où les agressions et attaques ont redoublées dans de nombreux quartiers.
En nous promenant autour de la Lagoa nous avons d’ailleurs vu de nombreux portraits d’enfants tués récemment. Certains étaient encore des nourrissons… cela fait un drôle d’effet. Nous avons aussi évité de nous promener dans les favélas. Certaines agences proposent des tours sécurisés qui s’effectuent à l’intérieur d’un bus, mais l’ambiance zoo ne nous tentait pas vraiment…

Ce qui nous a marqué à Rio :
L’ambiance festive et détendue qui se dégage de la ville.
Les sourires et la générosité des cariocas, les habitants de Rio.
La beauté et les couleurs de la ville.
La nature qui est très présente ici, que ce soit à travers les espaces verts mais aussi les nombreux animaux que nous avons croisés : hérons, singes, perroquets…
La plastique des brésiliens et brésiliennes sur la plage.
La soirée samba passée à Lapa.
La plage, c’est tellement merveilleux de pouvoir chiller enfin un peu après tous ces treks en montagne !
Nos retrouvailles avec Hortense, David et Stéphane 🙂

3 Comments

  1. Quel plaisir d’écouter Astrud Gilberto tout en parcourant Rio avec vous. On a revu avec émotion la plupart des endroits visités ensemble, il y a 5 ans déjà ! Est-ce qu’il faut toujours courir lorsqu’on traverse une rue à Rio…
    Il faudra qu’on revienne pour danser dans un bar à Samba 🙂

    1. Oui il faut toujours courir ! Ce sont de vrais malades en voiture. Et ne parlons même pas des feux rouges… On y retourne quand vous voulez !!! Nous aussi on a encore besoin de s’entraîner un peu pour la samba 😉

  2. Coucou,
    Je l’avoue, j’ai un peu de retard. J’essaie de lire le dimanche entre le repas dominical et la piscine du soir mais souvent, je suis rattrapé par une torpeur sournoise et insidieuse qui m’arrête net dans ma lecture.
    J’ai beaucoup aimé l’hommage fait à Moon pour son goût sans limite pour l’invention de nouveaux noms: ainsi Cristo Redentor est devenu par sa grâce « Corcova Crucificada » Merci Zaza pour ces bons moments!
    NB: Françoise (Maman d’Alice) = Moon = Zaza

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